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666 ' INSINUATIONS [Y j oo]
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de la Fontaine, à Linas-sous-Montlhéry, provenant de la succession de François Baillet, clerc perpétuel de la Sainte-Chapelle du Vivier en Brie, leur beau-frère et frère. — 15 novembre 1558 (fol. 73).
5137. — Pierre Gaulthier, .marchand teinturier, demeurant à Saint-Marcel-lez-Paris, et Simonne du Chasteau, sa femme : donation mutuelle. — ao février 155g (fol. 73 v°).
5138! — Barthélemy Denisot, suivant les finances, natif du Blanc en Berry, et Geneviève Gaillart, veuve de Pierre Aubery, marchand, bourgeois de Paris, et auparavant veuve de Pierre Richer, marchand orfèvre, bourgeois de Paris : contrat de mariage, avec donation mutuelle. — 19 février 155g (lol. 74 v°).
5139. — Thomas Bretonnet, laboureur de vignes, demeurant à Menuz-lez-Boulogne (près Paris), et Jeanne Couldray, sa femme : donation à Françoise ét à Denise Tulou, et à Renée Bailly, toutes trois filles de Jeanne Couldray et de ses deux premiers maris, -pour par elles A l'advenir trouver meilleur party en mariage pour plus aisément vivre.!, et en considération de leurs bons et agréables services, de tous leurs biens, meubles et immeubles, après leur décès, et en particulier à Françoise Tulou d'une place pour faire une travée de maison à Menuz - lez - Boulogne, avec jardin, et de vignes au terroir des Menus. —'23 mars 1558 (fol. 75 v»).
5140. — Geoffroy Granger, docteur régent en la Faculté de médecine de l'Université de Paris : donation à François Granger, laboureur à Besson, près Moulins en Bourbonnois, châtellenie de Souvigny, son frère, et à Marguerite,^ Raoul, à Agnès, à Louise, à Blaise et à Jean Granger, paroissiens de Besson, ses neveux et nièces, des biens, meubles et immeubles , qui lui appartiennent à Besson. — a 4 février i55q (fol. 76).
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• 5141. —- Nicolas Le Picard, demeurant à Guilmecourt, paroisse de Saint-Vaast[-d'Équi-queville] : donation à Regnault de Charette, demeurant à Paris, de ses droits sur Ies biens provenant de Gillette Denise, sa femme, notamment sur les deux tiers d'une maison, sise à Paris, nie du Feure, près la place Maubert, à l'enseigne de l'Image Sainte-Geneviève, dans la pensée que ledit Regnault de Charette tr luy sera bon amy, le temps advenir, et aussi qu'il avoit espousé sa mère... Et pour autant aue le dict Charette pourroit avoir empeschement à la joissance desdictz deux tiers de maison et meubles, à cause de Jaquette, fille naturelle de ladicte Gillette, qui dict estre fille naturelle dudict Le Picard, lequel Picard nous a juré et affermé par la foy et serment de son corps que ladicte Jaquette n'est en rien de son engendre-ment, et que depuis vingt deux ans'durant n'a eu aulcune conversation avec ladicte Gillette, pour cause de son mauvais gouvernement, pourquoy, de tous les enfans que ladicte Gillette a eu de présent, ledict temps de vingt deux ans, lesdictz enffans n'estoient point de son engendrement, et les desclaire nulz, et n'en-" tendoit et ne veult qu'ilz n'aye.nt aulcune part ne portion aux biens meublés et héritaiges de ladicte Gillette».— 15janvier 154o (fol. 77 v°).
5142. — Thierrye Langlois, veuve de Pierre Le Bouvier (ou Le Bonnier), seigneur de Nainville, demeurant à Paris, rue des Deux-Ecus : donation à Marie Richer, sa nièce, -pour la bonne amour et dilection - qu'elle luy porte et, -affin qu'elle soit mieulx pourveue en mariaige", d'une rente de 100 livres tournois sur les greniers à sel et les aides de la Ville. —-14 décembre 1558 (fol. 78 v°).
5143. — Tliierrye Langlois, veuve de Pierre Le Bouvier, seigneur de Nainville, demeurant à Paris, rue des Deux-Ecus : donation à Catherine Richer, sa nièce, pour aider à son mariage, d'une rente de 5o livres tournois sur les-greniers à sel et les aides de la Ville. — 14 décembre 1558 (fol. 80).
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